Архив рубрики: bronymate connexion

Le Quebec comme la planete vivent une immense et profonde crise de sante publique.

Les effets majeurs de cette situation exceptionnelle se font sentir partout, jusqu’au c?ur du systeme politique.

L’Assemble nationale a annonce la suspension des chantiers bien jusqu’au 21 avril. Il va falloir remonter a novembre 1852, au moment d’une epidemie de cholera dans la Vieille Capitale, Afin de tomber sur le seul precedent d’un abandon de session parlementaire en raison d’une hurle sanitaire.

Il semble quelquefois trop tard pour tirer des lecons d’une catastrophe. Mais peut-il etre trop tot pour tracer des bilans ? En fera non, aussi quand une position se bouscule a une vitesse de train japonais.

Aussi, De quelle fai§on Quelques experts jugent-ils Notre gestion de la crise de sante publique ? Et quelles lecons pourra-t-on bien tirer collectivement et politiquement Afin de ameliorer le systeme ?

« Mes reactions me semblent appropriees, mais on progresse dans l’incertitude, note le professeur Regis Blais, vice-doyen des etudes de l’Ecole de sante publique de l’UdeM. On ne sait nullement comment tout ca va evoluer. Des gens continuent a arriver de l’exterieur. Il faudra s’ajuster aux situations de jour en jour, voire d’heure en heure. Au niveau international, Quelques gouvernements ont ete plus prompts a reagir Afin de mettre en place des mesures plus strictes, la Chine en bronymate site de rencontre gratuit particulier, qui a reussi a contrer l’epidemie aussi que d’autres ont ete plus insouciants. Читать далее

A Rodez, les guerisseurs paraissent des soignants comme des autres

Simone reste «coupeuse de feu». Le don n’a rien de rationnel, mais un service de l’hopital de Rodez y croit et fait aussi appel a elle pour soulager Divers patients.

Simonde Guy, guerisseuse, et une des patientes. (Philippe Grollier / L’Obs)

Elle devoile qu’elle «fait le secret». Une priere, un signe de croix et le mal s’en va. Depuis quarante annees, Simone Guy, 77 ans, a Rodez et en villages aveyronnais des alentours, «coupe le feu». N’imaginez gui?re une grand-mere recluse, plongee dans ses grimoires : Simone, pimpante dame aux yeux rieurs, reste une guerisseuse d’aujourd’hui, joignable par portable, jonglant desfois avec cinq patients a Notre fois pour un mechant coup de vue, un eczema, un zona ou des demangeaisons de varicelle.

Que dit-elle pour soigner ? A qui ? Elle sourit, te prend 1 air malicieux, mais ne pipe mot. «Je ne peux gui?re. Sinon, le secret disparaitrait.» Autres regles a respecter, sous peine de laisser filer votre don qu’une s?ur de son mari lui a un jour communique : «Ne le transmettre qu’a des individus plus jeunes, et ne jamais accepter d’argent.» Et, pour des malades :

Читать далее